Collection Lesbiennes. LAttachée Parlementaire (2/2)
Jai été engagé après mon bac par Sandrine parlementaire bretonne comme attachée parlementaire, nous sommes en déplacement à Montpellier, je dois partager son lit, sauf une chambre, tous les hôtels de bonne facture sont complets.
Elle vient se coucher entièrement nue alors que je suis en nuisette, combien de temps ai-je dormi quand je sens sa main se poser sur mon sexe, jécoute sa respiration, elle est régulière aussi, je reste sans bouger de peur de la réveiller.
Cette main se remet à bouger, elle remonte sous ma nuisette et viens se poser sur mon sein, incroyable, pour la première fois mon corps séchauffe au contact de la main dune femme, au point que, lorsque dans la nuit une bouche se pose sur ma bouche, mes lèvres se disjoignent pour laisser passer sa langue.
Impossible que cette femme dorme encore, aussi ma main va chercher son sein lui pinçant légèrement le mamelon.
Quand elle est venue se coucher, jai eu le temps de voir deux choses, sa chatte est épilée et la pointe de ses seins ressemble à une grosse framboise nettement plus fine à sa base, en y repensant une fraction de seconde, jai envie de mordre pour lui arracher.
Son baiser est profond, un instant, je revois la professeure de philo que jai fuie quand jai compris quelle était lesbienne, je suis rattrapé par cette situation, jai été dépucelé par un garçon chez ma grand-mère de Plougastel sans grand plaisir, suis-je prédisposée pour aimer les amours féminins ?
Jévite de montrer à Sandrine le moindre rejet de ce quelle me fait, il est si rare de trouver un travail comme celui que je fais même si madame la députée sur son enveloppe pour ses frais me donne la part presque minimum.
Quand elle quitte ma bouche, jai du regret, mais je sens le drap me quitter et sa bouche descendre sur mon sein, comparé aux siens, ce sont de petites poires alors quelle a de vrais obus.
Ma nuisette est bien loin de protéger mon corps, elle est tellement lâche quelle na aucun mal à faire glisser lune des bretelles pour le prendre à son tour dans la bouche, elle passe sa langue délicatement sur mon mamelon comme elle le ferait avec une boule sur un cornet de glace, je descends ma main libre sur ma chatte, elle est ruisselante.
Je me suis déjà masturbée la faisant couler, mais à ce point jamais, elle semble avoir assez sucé mon sein, délaissant lautre qui est jaloux, elle vient sattaquer à mon nombril cherchant à y faire entrer son bout de langue.
Aimes-tu, excuse, javais envie ?
Je pourrais profiter de sa demande pour léconduire mais le seul mot qui sortent de ma bouche alors que son souffle sur la source de ma vie, cest un frisson qui me travers.
Oui.
Seulement oui, je me rends sans lutter tellement les sensations ressenties sont fortes, jironisais sur mes copines bouffeuses de chatte quand se déplaçant et venant dans mes jambes, elles les ouvrent dégageant mon sexe, je lui prends la tête dès que sa bouche avale mon clitoris.
Oh ! Oh ! Oh !
Ce sont les seuls bruits qui sortent de ma gorge, car ils émergent du plus profond de moi.
Elle bouge encore, ce qui est fantastique, cest que nous sommes dans le noir et quand elle enjambe ma tête, cest un ruissellement qui me tombe sur les joues et dans les yeux.
Son sexe est en contact de ma bouche, comme le sien sur la mienne, je lentends cracher et son bras faire un mouvement.
Screutch, jai avalé lun de tes poils, il va falloir menlever tout ça, je vais temmener à mon institut de beauté.
Dans la nuit, jéclate de rire manquant de m avec tout le liquide qui sort de son sexe, on dirait une petite rivière qui coule sans interruption.
Mets-moi tes doigts, je suis à la porte de
Elle ne finit pas de me dire de quelle porte elle voulait parler, quand un orgasme bien plus puissant que ceux que je me donne en me masturbant la traverse.
Il faut que tu jouisses, toi aussi laisse toi aller.
Je suis son conseil et pour la première, japprends ce quorgasme veut dire, elle quitte mon visage et viens se remettre près de moi avant de me prendre dans ses bras pour que nous finition notre nuit formidablement interrompue.
Au matin, nayant pas fermé les volets, cest une douce chaleur qui me réveille, les rayons tapent ma chatte qui séchauffe à leurs contacts, je suis surprise de voir des yeux qui me regardent, cest la première fois dans ma jeune vie quil y a quelquun à mon côté dans mon lit.
Elle membrasse le bout du nez.
Tu es réveillée mon bébé.
Oui, jai passé une nuit divine.
En disant ça à Sandrine, je métirais comme le faisait mon chat quand jétais petite, écartant mes jambes pour que la chaleur entre plus profondément en moi.
Arrête petite vicieuse de me provoquer comme tu las déjà fait cette nuit en dormant ta nuisette relevée dévoilant ton sexe.
Mais il faisait nuit, vous ne pouviez rien voir, cest faux, javais le drap sur moi.
Ne me contrarie pas petite fille, c'est toi qui m'as mis ta main sur mon sein ?
Oh ! méchante, cest toi qui as commencé avec le mien.
Tu as raison bébé, je voulais te faire croire que dans ton sommeil, cest toi qui as profité de mon corps nu, mais arrête de me provoquer, nous allons être en retard.
Nous nous sommes préparé les deux ensembles dans la salle de bains, avant de passer la journée puis de rentrer à Paris sitôt ses obligations terminées.
Pendant les semaines suivantes, nous nous sommes données du plaisir réciproque, sur le lit à lassemblée, dans son hôtel où elle restait quand elle était à Paris et même en Bretagne les deux jours ou elle était dans sa circonscription pour préparer sa réélection.
Comme elle le voulait, jallais régulièrement me faire épiler la chatte, la première fois quand je me suis regardé dans une glace, javais limpression davoir rajeuni de presque dix ans.
Bref chaque fois que je retournais chez moi, maman me trouvait épanoui.
Je suis parti plusieurs fois à létranger avec elle, elle mavait fait faire un passeport, cest à New York à lambassade que jai connu John, il était américain et cest dans un bar que je lai rencontré alors que Sandrine mavait donné ma soirée.
Ce fut la première bite à me faire jouir depuis mon dépucelage dans la voiture pendant mes vacances chez grand-mère, jaime baiser avec Sandrine, jaime me faire baiser par John pendant la seule nuit où jétais sur le sol américain.
Jai eu dautres amants aux quatre coins du monde, dans notre appartement, Sandra sentait lhomme sur moi quand je la rejoignais, mais nen ai jamais fait cas, en faisait-elle autant elle aussi ?
À deux mois des élections, elle semblait soucieuse, elle passait son temps à faire des comptes, je ne me suis pas rendu compte quelle shabillait de plus en plus de manière aguicheuse.
À la date où son amant devait venir la voir comme chaque mois, je lai trouvé pleurant, je me suis fait rembarrer quand je lui ai posé une question.
Pour plomber lambiance, Sandrine a perdu son élection emportée par une vague ayant balayé son parti au pouvoir.
Justine, je suis désolée, je dois te licencier, je retourne dans mon village où je vais reprendre lune des classes et faire école aux s, je vais toucher un salaire identique à celui que je te donne rendant impossible que je te garde.
Un dernier baisé au coin de mes lèvres et elle est partie, le soir, chez Sandra, cest moi qui pleurais.
Tu vas voir Justine, on va sen sortir, je pars pour l'Espagne, nous verrons tous ça dès mon retour.
Le lendemain en début daprès-midi, je reçois un appel téléphonique.
« Justine, jai un problème, je suis bloqué à laéroport de Malaga par une grève des aiguilleurs du ciel, peux-tu me rendre service. »
Je lui donne mon accord.
« Je vais tout de dire, lhomme que tu connais et qui payait mon loyer ma quitté, il y a quatre mois, sa femme ayant découvert quil mentretenait, rapidement, jai eu des problèmes dargent, jen ai encore.
Si je suis ici, cest que pour que nous puissions nous en sortir, jai arrêté mes études, je suis escorte, pute si tu le souhaite, la nuit dernière, jétais ici pour rencontrer un homme pendant toute la nuit à me faire baiser.
Jai dans mon sac les 5 000 quil ma payés pour que je lui donne du plaisir. »
Voyez ma tête au bout du fil, je comprenais mieux pourquoi ces tenues provocantes et quelle ne travaillait plus sur ses cours.
« À 20 heures, javais rendez-vous avec un homme près de la gare de Lyon chambre 23 d'un hôtel, il devait me payer 1 000 pour une simple partie de jambes en lair.
Jespère que je ne te choc pas, mais jai impérativement besoin des 1 000 et surtout déviter de le perdre, tu sais fidéliser les clients dans mon métier, cest important.
Je viens de lappeler, il est daccord pour cette fois que ce soit toi qui passes la nuit avec toi. »
Je me défends, lui disant que je ne serai jamais une pute, même si je dois trouver un boulot de serveuse pour survivre.
« Dans ce cas-là, dès demain, je te mets à la rue, je devrais trouver une colocataire payant la moitié du loyer, je tai aidé quand tu as eu des problèmes quand tu es venue à Paris, je croyais que nous étions amies. »
Ce fut mon premier client, travail assez facile, jécarte mes cuisses comme je le faisais avec John ou Sandrine, Sandrine, car il y a des femmes daffaires lesbiennes qui sont très prises par leur travail et qui font appel à moi, nous pensons Sandra et moi déménager, mon passeport sert un maximum, car il nest pas rare que nous prenions lavion, nous allons ensemble faits des clients.
Cest incroyable le nombre qui adore regarder nous sucer la chatte, jai initié Sandra au point que nous nous sommes fiancées, la seule chose quil restera à régler quand nous aurons doublé notre surface habitable, ce sont les s, nos mères souhaitant être grand-mère.
Notre amour est si fort malgré nos délires sexuels avec nos clients que nous avons un plan, les plus beaux dentre eux et les plus cultivés nous pardonnerons de leur avoir soutiré sans leur accord un peu de sperme.
Nous irons en Suisse voir en Belgique pour que nos ovules rencontrent leurs spermatozoïdes.
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